2021 est la bonne année pour vendre son bien immobilier

Entre la peur de vendre en dessous du prix du marché et celle de ne pas trouver d’acquéreurs rapidement, les français retardent, à tort, la vente de leur patrimoine immobilier.

Un bien pour 19 acquéreurs

Les chiffres sont sans appel, aujourd'hui on estime qu'il y a un bien en vente pour 19 acheteurs potentiels. Les biens sont rares, et contre toute attente, ils partent en quelques jours. Cet état des lieux vaut aussi bien à Paris qu'en Province. La restriction des conditions d'octroi de prêt des banques n'a rien changé à la pénurie de biens. Dans le neuf comme dans l'ancien, les recherches d'acquisition s'intensifient même en sortie de confinement. Dans l'ancien, rien ne vient entraver la croissance annuelle des prix qui se maintient à 7% avec un prix moyen en France de 3 869€/m².

Peu de projets immobiliers d'envergure

Tandis que pendant des années, les acheteurs se partageaient entre les marchés du logement neuf et de l'ancien aujourd'hui la donne a changée. Notre territoire connait un très net recul des projets immobiliers d'envergures. Nombre de constructions ont été gelées et les refus d'octroi de permis de construire se sont multipliés à l’initiative des collectivités locales. Face à la pénurie de logements neufs et à la frilosité des promoteurs quant aux évolutions des réglementations, les acheteurs et les investisseurs se replient vers le marché de l'ancien.

Une hausse constante des prix de l'ancien

Face à la pénurie de biens immobiliers neufs, les investisseurs, dopés par les primes à la rénovation se tournent de plus en plus fréquemment vers l'immobilier ancien. Face à la hausse constante des prix de l'immobilier ancien, les acheteurs sont prés de 30% à se tourner vers ce marché en anticipant les hausses à venir.

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